Initialement, le Web (nommé dans ce contexte le « Web 1.0 ») comprenait des pages Web statiques et rarement mises à jour, voire jamais. Une première évolution fut l'apparition d'un Web dynamique (parfois dit « Web 1.5 »), où des systèmes de gestion de contenu servaient des pages Web dynamiques, créées à la volée à partir d’une base de données en constant changement. Le Web était alors considéré comme un outil de diffusion et de visualisation de données, où le nombre de pages vues et l’esthétique revêtaient une très grande importance.
Le Web 2.0 facilite l'interaction entre utilisateurs, le crowdsourcing et la création de réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir du contenu et exploitant les effets de réseau, avec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web.
En ce sens, les sites Web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou portails Web centrés sur l’utilisateur plutôt que sur les sites Web traditionnels. L’évolution des supports permettant de consulter les sites Web, leurs différents formats, amène en 2008 une approche recentrée sur le contenu plus que sur l’aspect. Les nouveaux gabarits Web 2.0 (en anglais : template) tentent d’apporter un soin graphique, des effets, en restant compatibles avec cette diversité de supports. Dans le Web 2.0, l'internaute devient acteur en alimentant les sites en contenu (exemple : blogs), éventuellement collaborativement avec les wikis, voire des dispositifs très rigoureux de type science citoyenne.
En ce sens, les sites Web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou portails Web centrés sur l’utilisateur plutôt que sur les sites Web traditionnels. L’évolution des supports permettant de consulter les sites Web, leurs différents formats, amène en 2008 une approche recentrée sur le contenu plus que sur l’aspect. Les nouveaux gabarits Web 2.0 (en anglais : template) tentent d’apporter un soin graphique, des effets, en restant compatibles avec cette diversité de supports. Dans le Web 2.0, l'internaute devient acteur en alimentant les sites en contenu (exemple : blogs), éventuellement collaborativement avec les wikis, voire des dispositifs très rigoureux de type science citoyenne.
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